"Je ne veux point de rois qui sachent obéir."

La liberté qui capitule, ou le pouvoir qui se dégrade, n'obtient point merci de ses ennemis.

On gouverne les hommes avec la tête. On ne joue pas aux échecs avec un bon cœur.

Toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.

Le bourreau et le souverain foment couple.

La soumission implique la possibilité de l'arrogance et de la révolte : de la stabilité sort le mouvement.

Mais le trône soutient la majesté des rois Au-dessus des mépris, comme au-dessus des lois.

Mourir pour le pays est un si digne sort Qu'on briguerait en foule une si belle mort.

Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes.

L'empire est quelque chose, et l'Empereur n'est rien.

Presque toujours, en politique, le résultat est contraire à la prévision.