... les vraies révolutions sont lentes et elles ne sont jamais sanglantes. Le sang, c'est toujours pour payer la hâte de...

"... les vraies révolutions sont lentes et elles ne sont jamais sanglantes. Le sang, c'est toujours pour payer la hâte de quelques hommes ... pressés de jouer leur petit rôle."

Auteur : Jean Anouilh