Douce poésie ! Le plus beau des arts ! Toi qui, suscitant en nous le pouvoir créateur, nous mets tout proches de la divi...

"Douce poésie ! Le plus beau des arts ! Toi qui, suscitant en nous le pouvoir créateur, nous mets tout proches de la divinité."

Auteur : Guillaume Apollinaire
Sur le même sujet
On ne doit plus craindre les mots lorsqu'on a consenti aux choses.

On ne doit plus craindre les mots lorsqu'on a consenti aux choses.

Nous nous croyons purs tant que nous méprisons ce que nous ne désirons pas.

Nous nous croyons purs tant que nous méprisons ce que nous ne désirons pas.

Nos défauts sont parfois les meilleurs adversaires que nous opposions à...

Il n'est pas difficile de nourrir des pensées admirables lorsque les...

Nous ne possédons rien au monde - car le hasard peut tout nous ôter - sinon le pouvoir de dire je. C'est cela qu'il faut donner à Dieu, c'est-à-dire détruire.

Nous ne possédons rien au monde - car le hasard peut tout nous ôter -...

Pour aller plus loin
Tout bonheur est un chef-d'oeuvre : la moindre erreur le fausse, la moindre hésitation l'altère, la moindre lourdeur le dépare, la moindre sottise l'abêtit.

Tout bonheur est un chef-d'oeuvre : la moindre erreur le fausse, la...

La passion comblée à son innocence, presque aussi fragile que toute autre.

La passion comblée à son innocence, presque aussi fragile que toute autre.

Il y a plus d'une sagesse, et toutes sont nécessaires au monde ; il n'est pas mauvais qu'elles alternent.

Il y a plus d'une sagesse, et toutes sont nécessaires au monde ; il...

On choisit son père plus souvent qu'on ne pense.

On choisit son père plus souvent qu'on ne pense.

Le malheur est que, parfois, des souhaits s'accomplissent, afin que se perpétue le supplice de l'espérance.

Le malheur est que, parfois, des souhaits s'accomplissent, afin que se...