"Il y a bien autant de paresse que de faiblesse à se laisser gouverner."

Toujours le chef est seul en face du mauvais destin.

Le gouvernement […] n'a pas de propositions à faire, mais des ordres à donner.

Le désir du privilège et le goût de l'égalité,passions dominantes et contradictoires de Français de toute époque […]

Le meilleur [des gouvernements] pour moi, c'est celui qui agonie, parce qu'il va faire place à un autre.

Je ne veux point de rois qui sachent obéir.

Ne songer qu'à soi et au présent, source d'erreur dans la politique.

En politique, il faut toujours laisser un os à ronger aux frondeurs.

Un peuple n'a une vie réelle grande que s'il a une vie irréelle puissante.

Quand je cesserai de m'indigner, j'aurai commencé ma vieillesse.

Tout homme qui écrit - et qui écrit bien, sert la France.