"J'ai appris à parler du bonheur, à être heureux je n'ai point appris."

Le bonheur est à ceux qui se suffisent à eux-mêmes.

Si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux.

Tout bonheur est un chef-d'oeuvre : la moindre erreur le fausse, la moindre hésitation l'altère, la moindre lourdeur le dépare, la moindre sottise l'abêtit.

Le bonheur est une innocence.

Ce qui m'intéresse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun.

La littérature, c'est une manière de vivre dans le bonheur, dans l'exaltation, d'avoir une vie intéressante qui se renouvelait tout le temps, de vivre l'aventure, d'échapper à la routine, à la médiocrité.

Le bonheur est né de l'altruisme et le malheur de l'égoisme.

Etre heureux, ce n'est pas bon signe, c'est que le malheur a manqué le coche, il arrivera par le suivant.

Je me retrouvai dans l'air frais du matin et je me sentis si heureux d'être vivant que j'aurais aimé le crier à tue-tête.

Le bonheur, c'est la somme de tous les malheurs qu'on n'a pas.