"L'ambition individuelle est une passion enfantine."

En un sens le mystère de l'incarnation se répète en chaque femme; tout enfant qui naît est un dieu qui se fait homme.

Quand l'enfant quitte la maison, il emporte la main de sa mère.

Il y a des adultes qui jamais n'ont été des enfants.

On est toujours l'enfant de quelqu'un.

Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille fait briller tous les yeux.

Il faut avoir le courage d'abandonner ses enfants; leur sagesse n'est pas la nôtre.

Il faut être l'homme de la pluie et l'enfant du beau temps.

Les enfants c'est comme les années, on ne les revoit jamais.

Ce n'est pas la souffrance de l'enfant qui est révoltante en elle-même, mais le fait que cette souffrance ne soit pas justifiée.

Cette recrue continuelle du genre humain, je veux dire les enfants qui naissent, à mesure qu'ils croissent et qu'ils s'avancent, semblent nous pousser de l'épaule et nous dire: Retirez-vous, c'est maintenant notre tour.