"Lorsqu'on s'occupe des enfants il faut beaucoup d'anxiété, docteur, sans ça ils deviennent des voyous."

Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants.

Où le père a passé, passera bien l'enfant.

Il y a deux moments de sa vie où tout homme est respectable : son enfance et son agonie.

Les jeux des enfants ne sont pas des jeux, et les faut juger en eux comme leurs plus sérieuses actions.

Il y a d'étranges pères, et dont toute la vie ne semble occupée qu'à préparer à leurs enfants des raisons de se consoler de leur mort.

La mort, dit le poète, tient notre vie par les deux bouts : La vieillesse n'est pas plus proche du trépas que l'enfance.

À long terme, tous les fils d’Adam et d’Ève sont des enfants perdus.

Les enfants ne sont jamais trop délicats pour être fouettés ; comme les beefsteaks, plus on les bat, plus ils deviennent tendres.

L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres ; rien n'est moins sensé que d'y vouloir substituer les nôtres.

Les enfants flattent quelquefois les vieillards, mais ils ne les aiment jamais.