"Poète, prends ton luth, et me donne un baiser." Auteur : Alfred de Musset Poésie Sur le même sujet Les grands artistes n'ont pas de patrie. Tout ce qui était n'est plus ; tout ce qui sera n'est pas encore. Ne cherchez pas ailleurs le secret de nos maux. On n'est pas aimé tous les soirs. Il y a des femmes que leur bon naturel et la sincérité de leur coeur empêchent d'avoir deux amants à la fois. Alors s'assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse. Pour aller plus loin Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Où le père a passé, passera bien l'enfant. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. Après avoir souffert, il faut souffrir encore ; Il faut aimer sans cesse après avoir aimé. A défaut du pardon, laisse venir l'oubli.