"[…] Toutes les choses de la vie qui ont existé une fois tendent à se recréer […]"

Mon métier et mon art, c'est vivre.

Oui, j'aime mieux, n'en déplaise à la gloire, Vivre au monde deux jours que mille ans dans l'histoire.

La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin.

La révolution, c'est les vacances de la vie.

Cette auberge sans routes qui s'appelle la vie.

Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants.

Nous naissons, nous vivons, nous mourons au milieu du merveilleux.

Si j'avais à revivre, je revivrais comme j'ai vécu ; ni je ne plains le passé, ni je ne crains l'avenir.

Nous troublons la vie par le soin de la mort et la mort par le soin de la vie ; l'une nous ennuie, l'autre nous effraye.

Notre grand et glorieux chef-d'oeuvre c'est vivre à propos.