"[…] Un même fait porte des rameaux opposés et le malheur qu'il engendre annule le bonheur qu'il avait causé […]"

Le travail du corps délivre des peines de l'esprit, et c'est ce qui rend les pauvres heureux.

On n'est jamais si heureux ni si malheureux qu'on s'imagine.

Les gens heureux ne se corrigent guère: ils croient toujours avoir raison quand la fortune soutient leur mauvaise conduite.

Ni l'or ni la grandeur ne nous rendent heureux.

L'on veut faire tout le bonheur, ou, si cela ne se peut ainsi, tout le malheur de ce qu'on aime.

[…] ce prolongement, cette multiplication possible de soi-même, qui est le bonheur […]

Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple.

Le bonheur ne m'ennuie jamais.

Un homme n'est pas malheureux parce qu'il a de l'ambition, mais parce qu'il en est dévoré.

Il faudrait convaincre les hommes du bonheur qu'ils ignorent, lors même qu'ils en jouissent.