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Citations sur le thème Avenir
Pourquoi dites-vous « les personnes âgées » ? Vous devriez dire « les vieux ». C'est bien « les vieux ». Ça a le mérite d'être fier. Vous dites bien « les jeunes », non ? Vous ne dites pas « les personnes jeunes » ?
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La relation amoureuse peut-être se réduisait à ce déséquilibre : dès lors qu'on voulait quelque chose, dès lors qu'on attendait, on avait perdu.
Les vieux sont comme les enfants, on ne peut rien leur cacher.
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Je n'aime pas le soir qui tombe. Ces jours qui s'en vont dans l'ombre, pour toujours.
On croit toujours qu'on a le temps de dire les choses, et puis soudain c'est trop tard.
Le pouvoir est comme la tête de Méduse : celui qui en a vu la figure ne peut plus en détourner son regard, reste fasciné et charmé. Celui qui, une fois, a goûté à l'ivresse de la domination et du commandement ne peut plus s'en passer.
Seul celui qui a appris de bonne heure à épanouir largement son âme est plus tard à même de saisir en lui le monde entier.
Alors la pierre qui pèse sur mon âme sera soulevée, elle retombera de tout son poids sur le passé, et l'empêchera de resurgir encore une fois.
Car c'est bien connu, rien sur terre n'oppresse autant l'âme humaine que le néant.
A attendre, attendre et attendre, les pensées tournaient, tournaient dans votre tête, jusqu'à ce que les tempes vous fassent mal. Il n'arrivait toujours rien. On restait seul. Seul. Seul.
L'absence d'action masque toujours une lâcheté de l'âme.
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Aucune faute n'est oubliée tant que la conscience s'en souvient.
Qui éprouve de vifs sentiments observe peu. Les gens heureux sont de mauvais psychologues. Seul l'individu inquiet aiguise ses sens au maximum. L'instinct du danger lui insuffle une perspicacité qui dépasse de loin celle qui lui est naturelle.
Mais quel instant inoubliable que celui où je me retrouvai dans mon enfer, enfin seul, et cependant en cette précieuse compagnie.
Faut-il toujours des mots pour nommer les sentiments? Faut-il énoncer les choses pour qu'elles existent?
Au-delà des mots, quelque chose parfois nous propulse vers la solitude de l'autre, vers son désespoir, son impuissance ou sa colère, cela même qui ne se partage pas et que l'on croit pourtant reconnaitre.
J'avais trop de trucs dans la tête et parfois, c'est comme les ordinateurs le système se met en veille pour préserver la mémoire.
L'écriture ne peut rien. Tout au plus permet-elle de poser les questions et d'interroger la mémoire.
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L'écriture me met à nu, détruit une à une mes barrières de protection, défait en silence mon propre périmètre de sécurité.
J'ai lu un livre, une théorie sentimentale, dite de la deuxième chance, selon laquelle le destin se chargerait de remettre sur votre chemin le ou la promis(e) que vous auriez manqué une première fois, par paresse ou par inadvertance.
Le risque, ce n'est pas que je ne t'aime pas assez, c'est que je t'aime trop.
Aujourd'hui j'aime un homme dont la trajectoire a étrangement percuté la mienne (ou plutôt l'inverse) à la fois si semblable et si différent de moi, dont l'amour innatendu, dans le même temps me comble, me renverse et me renforce...
Il l'aimait avec ses doutes, son désespoir, il l'aimait depuis le plus sombre de lui-même, au coeur de ses lignes de faille, dans la pulsation de ses propres blessures. Il l'aimait avec la peur de la perdre, tout le temps.
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Cette fois, je ne pus rien ignorer de la douleur qui ravageait ma famille, elle saturait l'air comme de la poudre d'explosif.
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Avais-je besoin d'écrire ça ? Ce à quoi, sans hésitation, j'ai répondu que non. J'avais besoin d'écrire et ne pouvais rien écrire d'autre, rien d'autre que ça. La nuance était de taille.
La nuit quand on ne dort pas les soucis se multiplient, ils enflent, s'amplifient, à mesure que l'heure avance les lendemains s'obscurcissent, le pire rejoint l'évidence, plus rien ne paraît possible, surmontable, plus rien ne paraît tranquille.
Ma mère constituait un champ trop vaste, trop sombre, trop désespéré : trop casse gueule en résumé.
Les regards de nos parents, des autres adultes, des autres enfants sont tatoués sur nos peaux. Il nous a fallu composer avec. Et parfois sans.
L'écriture est pour moi un territoire retranché. Mais c'est aussi ce qui la rend si dangereuse. Et peut-être qu'un jour, je n'aurai plus la force d'écrire.
Si véritablement nous désirons aimer, nous savons bien que nous devons apprendre à pardonner
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Si nous ne voulons pas être une société de moutons domesticables et manipulables par toutes les formes de pouvoir, y compris celui de la science, il faut défendre la littérature.
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